Le Zip-Zapping des Lectures buissonnières

Après le compte rendu de Marianne, les remerciements de Christian, il était grand temps que Lunatique y aille de son petit mot sur Les Lectures buissonnières. Allez, hop ! C'est parti ! Le petit mot sera donc : « Super ». Difficile de faire plus synthétique tout en disant vrai.

Le reste en images, je nai pas trimballé mon gros appareil photo pour des clopinettes ! Où lon fait la connaissance de la compagnie Zip-Zap ; où lon découvre les rues, le jardin botanique, l'étang et les ruines du château de Saint-Aubin-du-Cormier ; où lon surprend les auteurs Marlene Tissot, Marianne DesroziersGaëtan Lecoq, ou encore Carmen Pennarun, Georgie de Saint-Maur, ainsi que le peintre William Mathieu (qui exposait quelques-unes de ses toiles les plus récentes), Bruno Duval (librairie L’Encre de BretagneAnne-claire Vilbert (dynamique et sympathique bibliothécaire qui orchestra avec brio cette journée) et Mireille Lacour (La Part commune).










































La matinée se déroula dans la bonne humeur grâce à la performance pleine de fantaisie et d’entrain de la Compagnie Zip-Zap qui proposait une visite touristique de Saint-Aubin-du-Cormier.
Après une pause apéritive au Bardac, nous avons connu le hic du midi avec un seul dessert permis : crêpe pommes caramel ou crêpe au chocolat.
Tandis que Bruno Duval installait le stand de sa librairie, nous avons pu nous avachir sur les fauteuils de la médiathèque pour une dégustation par les oreilles de la musique traditionnelle des deux Olivier (flûte et violon) et par les yeux des toiles apportées de Mézin par William Mathieu. L’enchantement fut de courte durée, il nous fallut bien vite attaquer le morceau de bravoure sur le canapé bleu et répondre aux questions d’Anne-Claire Vilbert et du public. Marianne, Marlene et Gaëtan Lecoq nous ont lu des extraits de leurs œuvres respectives, à savoir L’Enfance crue, Mailles à l’envers et Les Pieds nus de Zadkine (La Part commune, 2012).
Des échanges comme il se doit, passionnants,  fructueux, parfois même facétieux (pas ma faute ! pas ma faute !), à travers lesquels transparaissait surtout une belle complicité entre les auteurs et leurs éditeurs. Comment ne pas s’émouvoir de la déclaration toute pleine d'admiration de Gaëtan Lecoq à La Part commune ? Comment ne pas s'émouvoir de l'histoire de cette maison, fleuron de l’édition rennaise ?

Et dire qu’il faut patienter un an pour les prochaines Lectures buissonnières ! Merci Christian Domec, dont l’absence se remarqua à peine tant son esprit malicieux imprégnait chaque lieu visité, chaque livre présenté, chaque pensée des invités. Et merci à tous pour ce temps partagé.

Commentaires