« Sept
nouvelles. Toutes ont un point commun, l’enfance ou la sortie de
l’enfance.
Les
larmes aussi, les mensonges des adultes mais aussi les rires des
enfants sont présents (Dessine-moi une tente (deux versions) ;
la
lassitude du quotidien (Fille de pute) ;
la
pendule inexorable qui poussera un homme et une femme à se
déchirer (Cendrillon ne sait pas lire l’heure) ;
l’homme
propre sur lui, qui veut absolument passer là où il risque de salir
ses chaussures, nouvelle racontée avec ironie (Le Funambule
encravaté) ;
l’enfer
du métro ou RER et sa faune fatiguée, lasse qui craint le plus
petit retard (Et Dieu créa la merde).
Tout
a été observé avec soin et l’écriture est fluide.
Élodie
regarde autour d’elle, ça se sent dans ses écritures. Elle a l’
œil pour voir ce que d’autres ne voient pas et elle sait le
décrire.
Merci
Élodie Da Silva. »
Bah, nous, nous disons : merci, Marie, pour ce retour de lecture !
Merci à vous tous de nous donner encore et encore le plaisir de lire
RépondreSupprimerOn fait ce qu'on peut... les auteurs avec un peu plus de talent que les éditeurs ;o)
RépondreSupprimerMais non mais non mdr en tous cas j'en ai encore un sous le coude que je lirai plus tard et je vous dirai lol les deux que j'ai lus m'ont vraiment enchantée alors qui sait?
RépondreSupprimerJe ne saurais que trop vous conseiller de tenir ce dernier livre sous les yeux plutôt que de le garder sous le coude... Enfin, pour ce que j'en dis !
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