« Et parce que, si ce n’est pas la fin, c’est tout comme... »


Préliminaire

Parce que se lever chaque jour est assez pénible, d’autant que, même les yeux ouverts, on évite difficilement de se prendre un mur ou le pied d’une chaise.
Parce que l’on cherche à s’échapper mais sans savoir vers où. D’où la difficulté de demander son chemin.
Parce qu’on est sur des rails ou dans des ornières.
Seul(e) au milieu d’esseulé(e)s : rude leçon d’arithmétique.
Parce qu’à défaut de devenir un fils de pute – on a rarement les moyens de ses ambitions – on veut cracher à la gueule des salauds. Leur faire la peau, pour de vrai.
Parce que, dans cette guerre sans merci, tous les coups sont tirés.
Et parce que, si ce n’est pas la fin, c’est tout comme...
Point(g).

Histoires marmonnées

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