Boojum, l'animal litéraire, a adopté Funambules

Et hop ! ça faisait longtemps et ça nous manquait presque : une critique de Funambules, le roman de Julia Germillon (en signature avec ses copines Élodie da Silva et Sarah Taupin au Sonar(t) le 6 juin, voir ce post) !
C'est Boojum, l'animal littéraire qui s'y colle sans s'engluer dans des considérations discursives :

« Si Funambules est un premier roman remarquable, c’est d’abord parce que son auteur, Julia Germillon, a fait un véritable travail de fourmis pour retranscrire avec une exactitude quasi maniaque, l’ambiance, l’atmosphère des années 90. La description de certains quartiers comme celui de Barbes ou du canal St Martin détonne par rapport à ce qu’ils sont devenus aujourd’hui. Quartiers populaires, peu fréquentés des touristes car ayant une mauvaise réputation, ces quartiers étaient le cœur d’une vie alternative parisienne comme en témoigne le « point de chute », le squat fréquenté par Bonaventure et Ben où se retrouvent musiciens, funambules et artistes de tout genre. »

« Remarquable, Funambules l’est également pour la densité de ses personnages : tous sont travaillés avec beaucoup de précisions, qu’il s’agisse des personnages principaux ou secondaires. »

« Funambules est un roman complexe et dont on a du mal à se détacher. Une très beau premier roman publié par une maison d’édition qui a du flair et qui a aussi fait le choix de publier, sous un format original, de beaux livres sur un épais papier ivoire (Munken Pure rough pour les connaisseurs). »

Merci, Julie !

Pour lire la chronique de Julie Lecanu in extenso.
Pour découvrir Boojum


Commentaires

  1. Boojum n'est plus, vive le Salon littéraire ! Pour retrouver cet article, il faut désormais cliquer sur ce lien : http://livre.expeert.com/fr/roman/content/1798049-funambules-de-julia-germillon-a-paris-serge-gainsbourg-venait-de-mourir

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